Quel plaisir de retrouver les Colmariens de Manson’s Child avec ce chouette « Love In Tears ». Si le groupe a souvent trouvé son inspirations chez les rosbifs, c’est cette fois-ci de l’autre côté de l’Atlantique qu’il a trainé ses guêtres pour un classique indie rock aussi addictif et nerveux aux petits airs d’un Interpol de première jeunesse et rafraichissant comme il faut. On attend le nouvel album avec impatience.
Grand consommateur de Baby Carottes et de sorbets au yuzu, j’assume fièrement mon ultra dépendance au doux-amer, à l’électropop bancale et chétive, aux musiciens petits bras ainsi qu’aux formes épurées du grand Steve Ditko. A part cela? Il y avait péno sur Nilmar.