Swans à l’Epicerie (concours inside)

Des plus ou moins récentes et incessantes reformations de groupes relativement populaires qui viennent remplir les pages de magazines et les colonnes de pitchfork – et en ce moment on peut dire qu’on est gâté de ce coté là (Pavement, Godspeed You! Black Emperor, pour n’en citer que deux) en voilà une particulièrement excitante – en tout cas, depuis qu’on a mis la main sur l’excellent album que Michael Gira et ses potes ont eu la bonne idée de nous pondre, My Father Will Guide Me Up a Rope To The Sky. Preuve en musique que le groupe (formé en 1982 et séparé en 1997) n’a rien perdu de sa superbe, et réussit incontestablement son retour en studio plus de douze ans après sa séparation (Pour autant, Gira n’a pas chômé entre temps, puisqu’il a sorti cinq albums avec son autre projet Angels of Light).

Ça laisse présager du meilleur pour le retour sur scène, qui aura donc lieu (pour nous) à l’Epicerie Moderne, le mercredi 1er décembre prochain, avec James Blackshaw en première partie. Toujours en partenariat avec l’Epicerie, on vous offre quatre invitations à gagner en répondant à la question plus bas. Bonne chance!

Pour tenter la chance de gagner votre invitation, envoyez votre réponse à la question suivante par le formulaire de contact – en indiquant votre nom et adresse e-mail valide, avant le vendredi 26 novembre à midi. Les quatre gagnants du tirage au sort seront prévenus rapidement par e-mail.

Question: Quel est le titre du premier album des Swans auquel Jarboe ait contribué, au clavier et au chant?

En extrait du dernier album, My Father Will Guide Me Up a Rope To The Sky: « Eden Prison »

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Lionel

cultive ici son addiction à la musique (dans un spectre assez vaste allant de la noise au post-hardcore, en passant par l’ambient, la cold-wave, l’indie pop et les musiques expérimentales et improvisées) ainsi qu’au web et aux nouvelles technologies, également intéressé par le cinéma et la photographie (on ne peut pas tout faire). Guitariste & shoegazer à ses heures perdues (ou ce qu’il en reste).