C’est annoncé depuis déjà pas mal de temps (et mon petit doigt me dit que les places partent toutes seules), les cultissimes The Wedding Present (monument de l’indie-pop-rock britiche qu’on ne présente plus, auteurs d’un grand album – George Best, sorti en 1987 et gravé dans bien des mémoires) seront en concert à l’Epicerie Moderne le 2 novembre prochain. Le groupe mené par David Gedge partagera pour notre plus grand plaisir la scène avec Sa Majesté monsieur Troy Von Balthazar, plus connu pour être le chanteur guitariste de (feu) Chokebore. Par ici, on est plutôt super fan du travail de ce fantastique songwriter, tant en solitaire qu’au sein de son illustre formation, pour son écriture, sa voix et cette mélancolie séduisante qu’on retrouve dans ses textes et ses musiques. Une affiche atypique et éclectique proposant deux sensibilités fortes différentes, voire opposées, qui devrait nous garantir une très belle soirée de pop-folk-rock. Et comme il est gentil, notre épicier, il m’a même filé des invits à vous faire gagner. Alors tu veux toujours aller les faire à Carrefour tes courses?
Pour tenter la chance de gagner votre invitation, envoyez votre réponse à la question suivante par le formulaire de contact – en indiquant votre nom et adresse e-mail valide, avant le vendredi 29 octobre à midi. Les quatre gagnants seront prévenus rapidement par e-mail.
Question: Qui a joué de la guitare avec Troy Von Balthazar sur son premier album et lors de la tournée qui a suivi?
En attendant le tirage au sort, voici un extrait en acoustique du dernier album de Troy, How To Live On Nothing: « Wings », en session sur Soul Kitchen. A mardi prochain.
[youtube]U1T3zdy_RP4[/youtube]
cultive ici son addiction à la musique (dans un spectre assez vaste allant de la noise au post-hardcore, en passant par l’ambient, la cold-wave, l’indie pop et les musiques expérimentales et improvisées) ainsi qu’au web et aux nouvelles technologies, également intéressé par le cinéma et la photographie (on ne peut pas tout faire). Guitariste & shoegazer à ses heures perdues (ou ce qu’il en reste).