Nous vous avions déjà expliqué tout le bien que nous pensions du doucement euphorisant second album de Castlebeat. Après un troisième opus plus éclectique que cette indie-surf-bedroom-pop dans laquelle Josh Hwang excelle, le musicien de Brooklyn revient avec un single dans la lignée de ses premières compositions. Le charme n’est aucunement rompu et on retrouve dans « We Can Make This Right » cette facilité déconcertante à décliner cette impression velouteuse de mélancolie rêveuse et entrainante.
Grand consommateur de Baby Carottes et de sorbets au yuzu, j’assume fièrement mon ultra dépendance au doux-amer, à l’électropop bancale et chétive, aux musiciens petits bras ainsi qu’aux formes épurées du grand Steve Ditko. A part cela? Il y avait péno sur Nilmar.